Grande consommatrice de polars, c'est avec beaucoup d'enthousiasme que j'ai attaqué ce roman. Mes attentes étaient d'ailleurs à la hauteur des éloges que j'avais pu lire ici et là. Écrit par Shane Stevens en 1979 mais publié en France en 2009 seulement, il s'agirait du roman fondateur du genre, une référence pour des auteurs comme Stephen King, James Ellroy ou Thomas Harris.
Malheureusement, je ne vais pas pouvoir en dire beaucoup, car j'ai abandonné ma lecture après 200 pages. Je me suis quand même accrochée un moment, mais ce livre m'est finalement tombé des mains.
Malheureusement, je ne vais pas pouvoir en dire beaucoup, car j'ai abandonné ma lecture après 200 pages. Je me suis quand même accrochée un moment, mais ce livre m'est finalement tombé des mains.
Stevens retrace de façon méthodique le parcours de Thomas Bishop, tueur en série ayant sévi aux États-Unis dans les années 70. Son père ne serait autre que Caryl Chessman, serial killer bien réel, condamné à mort en 1960, après avoir écrit plusieurs livres sur sa vie. Son exécution a grandement contribué à lancer le débat sur la peine de mort aux États-Unis.
Stevens décrit, dans un style très clinique, la psychologie tortueuse de Bishop. Cette immersion dans la tête du tueur est d'ailleurs ce qui m'a plu dans ce roman.
Stevens décrit, dans un style très clinique, la psychologie tortueuse de Bishop. Cette immersion dans la tête du tueur est d'ailleurs ce qui m'a plu dans ce roman.