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Sandrine, James Osmont

Couverture de "Sandrine", de James Osmont
Bon, et bien voilà... Après "Régis", qui m'avait laissé un peu sur ma faim, j'ai attaqué le deuxième opus, "Sandrine". 
Je ne vais pas pouvoir en dire grand chose malheureusement. Écrit dans le même style que le précédent roman, je n'arrive tout simplement pas à crocher. Je dois me "forcer" à le lire, je relis 4 fois le même passage, je fais l'impasse sur les citations de chansons qui ne me parlent pas, je m'ennuie un peu... Rien à faire, il ne parvient pas à me captiver. J'ai l'impression que je n'ai tout simplement pas la tête à ça pour le moment. Mais j'aimerais y revenir un jour!

A lire les avis élogieux ici et là, je suis presque déçue de ne pas parvenir à apprécier ce livre à ce qui semble être sa juste valeur. 
Mais pour le moment désolée, Sandrine, Dolores, je vais vous laisser un peu de côté !

Régis, James Osmont

Couverture de "Régis", de James Osmont

J'ai découvert ce livre lors d'une de mes visites sur Babelio. Cela va peut-être vous surprendre, mais la couverture m'a immédiatement attirée. Attirée ou hypnotisée, allez savoir. Toujours est-il que je l'ai trouvée... affreusement belle. Elle nous confronte à une figure inquiétante, qui semble suspendue entre deux mondes, plus tout à fait vivante mais pas encore morte. Je peux vous dire sans trop en dévoiler qu'elle est à l'image du contenu, à la fois dérangeant et prégnant. 

Écrit et auto-édité par un infirmier en psychiatrie, ce roman est une plongée dans l'esprit  torturé de Régis, schizophrène de 32 ans, qui a passé la majeure partie de sa vie dans un hôpital psychiatrique. Nous suivons le cheminement paranoïaque de ses réflexions, alimentées par sa vision déformée de la réalité et rythmées par les chansons désabusées qu'il écoute en boucle.